Certains ne sont pas loin de penser que c’est le plus vaste réseau de hackers au monde. Les malfrats utilisaient un réseau privé virtuel (VPN) « afin de commettre leurs crimes sans craindre d’être détectés par les autorités ». Dirigée par la Police allemande, l’enquête a nécessité la conjugaison des moyens de plusieurs pays occidentaux dont notamment la Grande-Bretagne, la Hollande, l’Ukraine, le Canada, les États-Unis etc. La question est désormais de savoir si ce vaste coup de filet à concerner les hackers russes. Ils sont réputés être parmi les plus nocifs en Europe.
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